La formation de la profession de sage-femme n’abordait pas le deuil dans les années 90.

Depuis que je travaille j’ai dû m’adapter.

En Polynésie où la mort d’un bébé est plus fréquente : les rituels d’accompagnement : Baptème, Habillage, …. faisaient partie de l’accouchement.

J’ai revu ma prise en charge, lorsque j’étais au Centre Hospitalier de Carhaix-Plouguer.

J’ai fait partie d’un groupe de travail sur l’élaboration d’un livret à remettre aux familles et édité par le réseau de périnatalité de Bretagne.

À Carhaix-Plouguer, nous avions la chance d’avoir une infirmière formée aux rites religieux…

Les associations :

• La petite Émilie https://petite-emilie.assoconnect.com/page/1471220-homepage
• l’enfant sans nom https://lenfantsansnom.fr/
• Dans nos coeurs https://www.dansnoscoeurs.fr/infos/deuil-perinatal-livret-accompagnement

Des livres existent pour les familles (parents et enfants)

Il serait intéressant en tant que sage-femme d’accompagner les familles endeuillées à domicile comme on peut le faire pour les jeunes parents lors de la sortie de la maternité avec le PRADO.

La jeune accouchée peut avoir des problématiques médicales….

En tant que sage-femme on peut les accompagner avec :

Homéopathie

Hypnose

Sophrologie ….

L’Hôpital de Port-Royal à Paris organise des visites à domicile en collaboration avec les sages-femmes libérales.

Une piste à développer en Bretagne.